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La première caserne construite par l'Etat daterait de 1756. Plusieurs acquisitions ont été faites au fil des ans pour aménager un mess pour les officiers, puis des écuries, mais dans son ensemble la caserne n'évoluera pratiquement pas jusqu'à sa démolition pour cause de vétusté et de réaménagement du Centre Ville de Courbevoie |
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En 1838, la portion de terrain triangulaire située de l'autre côté de la rue Baudin fut affectée au service militaire par ordonnance royale. On utilisa ce terrain pour la pratique du sport. | ![]() |
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En 1905, la caserne a été occupée par 1 bataillon du 24ème d'Infanterie, 2 bataillons et l'Etat Major du 119ème d'Infanterie. | ||
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La leçon de gymnastique au 119e - 3e Compagnie |
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Le fronton sculpté au dos du pavillon de l'horloge fait face à Paris. Le blason fleurdelisé a été gratté sous la Révolution. Plusieurs personnages célèbres ont séjourné dans cette caserne. Alfred de Vigny, engagé comme sous-lieutenant en 1815, fit partie de l'infanterie de la garde royale jusqu'en 1823, était affecté à la caserne de Courbevoie pendant cette période. Grandeur et servitude militaire est en partie inspiré par son séjour courbevoisien, Henri d'Orléans, duc d'Aumale, quatrième fils de Louis- Philippe, fut colonel du 17e régiment d'infanterie gère qui tint garnison en 1842 àCourbevoie. En son souvenir, une place située près de la caserne fut baptisée d' Aumale. La ville acheta la caserne n 1961 pour y édifier le complexe Charras. |
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2006 Seul le fronton a été conservé pour être réinstallé dans |
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2006 |
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